Già avevamo i filorussi d’accatto, che solo in Italia conquistano spazi in Televisione senza logica alcuna. Spicca purtroppo nella categoria la 7 di Urbano Cairo (per fortuna non con i telegiornali di Enrico Mentana), cui si aggiunge la Rai in campo nello sdoganare personaggi putiniani che paiono grotteschi. Per non dire di un giornale militante come il Fatto Quotidiano dell’inqualificabile Marco Travaglio, anche lui nel contempo invitato televisivo a gettone, di cui sfuggono i meriti. Ora capita nelle vicende israelo-palestinesi nello stesso filone di disinformazione sistematica chi difende Hamas senza scrupolo alcuno con logiche giustificazioniste che fanno accapponare la pelle e spesso guardacaso sono gli stessi amici di Mosca che si riciclano sulla nuova emergenza internazionale. Consiglio per contestare questa deriva la lettura del settimanale Le Point in edicola con apposito dossier. Illuminante e condivisibile l’editoriale di apertura a firma di Étienne Gernelle, di cui condivido la vigorosa indignazione sin dall’incipit: “Sommes-nous stupides, pleutres ou suicidaires ? Ils sont certes terrifiants, les éradicateurs islamistes, avec leurs roquettes et leurs couteaux, que ce soit à Kfar Aza, à Arras ou à Bruxelles. Mais le plus inquiétant est peut-être le spectacle de ces flageolements dans les rangs des démocraties libérales. « Dans ce moment de panique, je n’ai peur que de ceux qui ont peur », écrivait Victor Hugo dans Choses vues. Et cela tremblote, en Occident. On entend claquer des genoux de partout. Certains, n’écoutant que leur instinct de collaboration – pardon, de survie – ont même déjà choisi le camp d’en face. En témoigne la veulerie de La France insoumise, qui pense miser sur le cheval gagnant, et celle du Britannique Jeremy Corbyn, qui lui non plus n’arrive pas à appeler le Hamas mouvement terroriste. Ceux-là, on avait l’habitude. Plus accablant est ce qui se passe aux États-Unis, où les grandes universités, tenues par une gauche adepte d’un galimatias victimaire tous azimuts, semblent cette fois-ci avares de leur compassion, puisqu’elles peinent à condamner les pogroms perpétrés par le Hamas en Israël. On les pensait idiots, ce sont des salauds…”. Idem come sopra esponenti politici italiani ambigui e viscidi e studenti delle Superiori e delle Università italiane che non solo giustificano gli assassini ma li esaltano in un afflato masochista fra ignoranza e stupidità. Ancora l’editoriale su questo rimbambimento in Occidente: ”Les complices intellectuels ou les compagnons de route de l’islamisme ne se donnent même plus la peine de se camoufler. Et cela en désinhibe d’autres. Les drapeaux du Hamas, brandis à Londres ou à New York, sont une tache. Les images, à Berlin, de maisons marquées d’une étoile de David font frémir. La peur a changé de camp. En France, les suppôts du Hamas ne demandent qu’à se montrer, alors que des milliers de professeurs doivent redoubler de prudence avant d’aborder certains sujets… Si les choses tournent mal, il faudra se souvenir que tout cela, malgré de réconfortantes réactions n’a pas soulevé, en réponse, de foules à la hauteur de l’ignominie qui se manifeste. Et, au milieu de tout cela, ces numéros de contorsionnistes de moins en moins supportables réalisés par les spécialistes du relativisme…”. Già è sarebbe ora che i complici dell’islamismi radicale, nella loro foga di difesa, pagassero queste posizioni non tanto a colpi di codice penale, quanto con un isolamento morale. Ancora il giornalista francese: “Car la vérité est que l’islamisme est une idéologie éradicatrice et qu’il ne connaît pas de frontières. Ses disciples pourchassent dès qu’ils le peuvent tout ce qui bouge et ose encore défendre la liberté d’expression comme celle des femmes, les livres, lorsqu’ils s’écrivent au pluriel, l’Occident et les Lumières. Avec une place toute particulière pour les Juifs, leur cible préférée. Dans leur système de pensée, personne n’est à l’abri nulle part. Souvenons-nous des menaces contre le journal danois Jyllands-Posten, qui avait publié les « premières » caricatures de Mahomet en 2005, et dont l’audience au Moyen-Orient était pourtant plutôt confidentielle… Le Hamas, à l’époque, avait d’ailleurs lui aussi réagi. Évidemment, c’était là un sujet essentiel pour le bien-être des habitants de Gaza… L’islamisme, répétons-le, n’est pas une réaction défensive. Ni Samuel Paty, de Conflans-Sainte-Honorine, ni Dominique Bernard, de son lycée d’Arras, n’avaient affamé Gaza !”. Sono questi i professori trucidati in Francia dalla follia amicizia islamista! E ancora: “Quant aux centaines de milliers de personnes massacrées par Daech en Irak ou en Syrie, de quel crime étaient-elles coupables ? On remarquera que nos relativistes ne pleurent pas souvent les musulmans assassinés par les islamistes. Ou alors moins fort. La tartuferie, d’ordinaire, est simplement énervante. Dans ce moment précis, elle devient odieuse. Et déprimante. Les démocraties libérales n’ont évidemment pas dit leur dernier mot, mais il serait temps, au moins, de regarder les choses en face et de soigner cette maladive poltronnerie”. Bella definizione quest’ultima: malata vigliaccheria! Così come i poco prima “tartuferie”, che trovo bellissimo, viene da una commedia di Molière “Personnage qui, sous couvert de religion, affecte une dévotion et une vertu profondes, dans le but de séduire son entourage et d'en tirer profit”. Un falsone…